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Un nouveau départ : Kawasaki GPZ 500 S !

Kawasaki 500 GPZ S

Laura sur sa motoNous y sommes ou presque. Laura à (re)pris le chemin de l’école ou presque et se rend maintenant dans sa moto école, ou auto-école spécialiste de la moto, où elle entreprend de réussir le permis moto. Mais alors une moto neuve ? Une moto d’occasion pour ses premiers tours de roue ? Et si moto d’occasion, laquelle ? Parmi les Zephyr, CB500, ER5, GSE et j’en passe, Laura a posé ses yeux sur une magnfique Kawasaki GPZ 500 S… ce sera la première moto de mademoiselle Laura 😉

 GPZ 500 : moto idéale pour faire ses premiers tours de roue

C’est vrai qu’une Ducati 796 ou qu’un Hornet sont deux motos géniales après l’obtention du papier rose. Néanmoins commencer par le commencement ce n’est pas mal non plus. Toutes celles et ceux qui ont commencé le permis moto ou qui l’ont passé savent à quel point ce n’est pas si « facile » de l’avoir.

Ainsi, réussir à faire un demi tour, passer le première, lâcher l’embrayage et ne plus poser pied à terre est déjà une sensation tellement incroyable à moto que quelque soit la moto sur laquelle on se trouve, ce sera un moment magique !

On peut rêver d’avoir une Ducati, une Mv Agusta et autre magnifique moto en première moto… mais pour débuter,  est-ce qu’on en profitera ? Je ne pense pas… sur une première moto il faut garder à l’esprit qu’on l’utilisera sur une saison voire 1 année avant de changer pour progresser… si l’on part directement sur la magnifique, on n’aura plus plaisir de changer par la suite… libre à chacun de voir comment consommer de « la moto » qui reste un loisir avant tout et un mode de transport au quotidien qui n’a rien d’économie de toute façon… soit ! là n’est pas le débat…

Vie à bord d’un 500 GPZ en vidéo

Bon, le pilote / auteur de cette vidéo GoPro n’a pas un équipement très complet (pas de gant entre autre)… mais cette vidéo donne un aperçu de la vie à bord d’un 500 GPZ…

Débuter à moto et se faire la main

Quand on débute à moto, je pense que l’idéal est de commencer par le commencement en optant pour une moto robuste, qui ne craint pas les buches, même stupide (bloc disque que l’on oublie d’enlever par exemple je ne vise personne, lol), sans pour autant mettre de côté la fiabilité et la robustesse. Avoir une moto ne doit pas être source de problème au contraire… Le GPZ est reconnu pour être une moto accessible, facile et fiable !

Moto Kawasaki GPZ 500 S, présentation !

Malgré un starter à la main et une instrumentation un peu dépassée, le GPZ est une moto qui offre une belle prestation face à la concurrence. Moi, personnellement, les aiguilles j’adore !

Le tableau de bord est complet avec deux trips, un indicateur de direction, de phare de route et même la température moteur… ne manque qu’une jauge à essence… ce point n’est pas très grave… à l’usage (et malgré ce que dis Jean-Claude qui pour lui est rédhibitoire à l’achat d’une moto qui n’en est pas équipé), on sait sur le trip dédié combien de kilomètres on peut faire avec un plein… à +/- 20km ça ne changera pas la vie du motard à son bord… rouler sur une moto avec un delta de 20km de toute manière n’a jamais été une stratégie très payante…

En revanche, un voyant indiquant que l’on arrive en réserve serait un plus, encore que… lorsque l’on arrive en réserve, il faut tourner le robinet et il reste alors 2L d’essence… ne pas oublier de remettre le robinet en position normal après le plein d’essence ^^ avec un réservoir de 18L et une conso annoncée à moins de 5l au 100, pas sur que ce soit Laura la première à réclamer de l’essence pendant les balades moto 😉

Voici ce qu’en disait un journaliste dans les années 2000 :

Véritable petite sport-GT, cette 500 bénéficie d’un bicylindre typiquement kawa, à savoir rageur, particulièrement heureux dans les tours, et valorisé par une belle allonge.

Cela se paie par un caractère peut-être un peu trop pointu, d’autant que le moteur manque de souplesse à bas régime. Cela n’est pas véritablement pénalisant car cette 500 est pétrie de qualités. D’abord son look, presque indémodable, qui en fait une machine jolie et accueillante. Effectivement, elle l’est : confortable, elle permet de tailler la route tout en se montrant joueuse. Sportive en herbe, elle bénéficie d’une partie-cycle agile qui invite au sport. La moto est facile à emmener, légère, la tenue de route sereine tout en conservant une bonne vivacité, idéale pour s’amuser dans la montagne. C’est en la menant avec entrain que l’on s’aperçoit de la relative faiblesse de son freinage, en fait un peu dépassé par les performances de cette petite sportive. Globalement, la GPZ est une excellente petite machine, joueuse, polyvalente, économique et fiable.

Un Sport GT idéal pour se faire la main et s’amuser

Sans être un foudre de guerre, le GPZ est une moto qui offre 58cv à 9800tr/mn (zone rouge à 11000tr/mn – 47cv pour le GSE 500) et un couple camionesque de 4,7Mkg à 8500 tr/mn (4,1Mkg pour le Suzuki GSE 500 par exemple) ce qui laisse suffisamment de quoi s’amuser et entre apercevoir qu’avec un peu d’expérience, j’en connais une qui va monter dans les tour pour exploiter la bête à 100%. Au quotidien ça donne quelques chiffres plutôt sympa pour une moto de 498cc : 5,3 secondes le 0 à 100km/h, et une vitesse max de 195km/h compteur…

200kg toute mouillée, ce qui est très raisonnable, le GPZ est vraiment une moto idéale pour débuter et même s’amuser. Je la trouve nettement au dessus qu’un Bandit par exemple de part son moteur bicylindre, son poids, sa protection et sa vivacité si j’en crois mes lectures… le dernier point fort de cette moto en reste son prix du fait qu’on la trouve uniquement en occasion (en neuf, ça valait 5600 euros)… 500 euros moins cher que mes pots Termignoni sur mon Ducati Streetfighter, cette moto est une occasion en or pour Laura, qui j’en suis certain, va prendre un pied énorme à s’amuser avec 😉

Encore un peu de patience…

Mais avant de partir de la concession moto à son bord, va falloir être un petit peu patience. Descendre le chrono sur la piste du plateau et réussir le demi-tour sans faire tomber de plot… tu vas y arriver Laura, j’en suis sur… et après… à nous les belles routes Bretonnes avec les copains, ça va être le pied !

Galerie photo Kawasaki GPZ 500 S de Laura

Kawasaki 500 GPZ S
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